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Renaud Baltzinger- Artiste Peintre de "Khojaly"

15 octobre 2017

Exposer, après Bakou, Metz 26-28 octobre 2017

Lorsque j'étais à Bakou au Centre Heydar Aliyev, regardant mon travail « l'Oeuvre Blanche », je me disais que pour un peintre aboutir à « ça », c'était le summum et que je pouvais m'arrêter. En effet, mon travail sur la Shoah, Tibérine, Salaï, Khojaly (XOCALI) était connu un peu partout dans le monde. J'avais atteint mon objectif. Défendre les minorités de façon passionnée mais prestigieuse et entendue.
La suite me donnait raison. Je tombais gravement malade et devais me reposer. La peinture s'effaçait doucement de mon esprit jusqu'à ce que je me rende compte que pour les jeunes générations le mot « SHOAH » ne voulait plus rien dire ou plus exactement ne signifiait rien. L'horreur, la catastrophe... Je replonge immédiatement dans Stefan Zweig, le joueur d'échecs, et en commence une série. 
Et je regarde tout mon travail rangé. Je décide de tout ressortir et j'en parle à Franck Ansalone du Café La Jehanne à Metz où j'ai quelques habitudes. Il est tout de suite partant, très joyeux optimiste. J'espère que le proche avenir lui donnera raison car faire avec les artistes est toujours complexe surtout lorsque ceux-ci sont engagés. Car il ne s'agit pas d'ego dans ce cas mais de guerre. Mon art est une « guerre » contre l'obscurantisme et la bêtise. Rien de plus, rien de moins.
Au mois de Novembre ou décembre, j'exposerai dans la « boite » à Longeville lès Metz un travail inconnu de tous révélant un nouvel engagement, tout aussi féroce que les précédents ou que XOCALI (Khojaly). Une œuvre « monumentale ». Je vous attends nombreux à ces deux événements. Le premier à Metz, à la Jehanne.

centre heydar aliyev

SHOAH 2

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17 novembre 2015

Plus de 3 ans sur le thème de Khojaly... Plus de

 

Plus de 3 ans sur le thème de Khojaly... Plus de

70 toiles, l'oeuvre blanche. Je souhaitais montrer

en un peu plus de 3 minutes cet immense labeur;

un travail fait pour que tous sachent. Pour que

Khojaly (XOCALI) soit reconnu. Il y a encore un

grand travail à faire. Pas forcèment au niveau des

réalisations plastiques mais de la communication.

Je porterai à bouts de bras ces martyrs de l'histoire.

16 novembre 2015

Bakou, anecdote

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J'arrive à Bakou, il est tard. Je descends de l'avion.

Il pleut. Mes toiles sous le bras, je suis heureux

d'être arrivé. Je suis frappé de stupeur devant la

modernité de l'aéroport. Magnifique. La douane ne me

pose aucun problème. "le peintre de Khojaly", invité

par l'ambassade est même très bien reçu. Je fais mon

visa et je passe les portes... Je dois rejoindre le

chauffeur de l'ambassadeur. Sera-til là? N'auront-ils

pas oublié? Namik m'attend. C'est un véritable miracle

me dis-je intérieurement.


Nous parlons. Enfin Namik me parle beaucoup de mon frère.

Je suis ému, nous sommes émus et je lui dis: "vous me

déposez vite à mon hôtel, le ... je suis très pressé de

me doucher. Il me répond que ce n'est pas l'hôtel où je

aller. Nous en faisons un, deux puis trois avant d'arriver

là où je voulais qu'il m'amène au départ. Il fallut près

d'une heure pour faire ouvrir l'hôtel, le jeune responsable

de l'accueil ronflait si fort que c'en était un bonheur.

Il ouvre. Namik entre et me regarde horrifié. "Je ne vous

laisse pas ici, M. Baltzinger". Moi, riant, je lui explique

que tout à l'air parfait et qu'il ne doit pas s'en faire pour

moi. Je suis quelqu'un de très cool et surtout, j'avais très

mal au dos; donc besoin de me doucher et de m'allonger.

Dans la salle de bains, l'eau était tiède, voire froide tempérée.

J'étais de bonne humeur.

Ayant rendez-vous le lendemain matin à 09h45, je me suis dit que

me raser me permettrait de gagner quelques minutes de sommeil.

Je branche le rasoir... Le noir le plus complet se fait. A tatons,

je cherche porte, je redescends à l'accueil. J'appelle. Nul ne


répond. Je remonte dans ma chambre. Je décide de fumer une cigarette.
Je tire le rideau. La tringle se détache, me tombe sur le crâne et le

rideau se déchire... J'ouvre la fenêtre... Elle était murée. J'étais

enfermé. Là, je redescends en me disant qu'une balade s'imposait. La porte

était fermée à clefs... Pas de clef... J'appelle, je hurle. Pas de réponse.

Je remonte dans ma chambre. Je fume. Je prends mon téléphone pour appeler

mon épouse. Je compose le numéro, la batterie est à plat... Je prends

l'Ipad et je regarde les photos de mes enfants et de leur mère.

Je me réveille et descends en retard. On me regarde en me disant

"too late!no breakfast". Après une discussion un peu agitée,

j'obtiens le plus merveilleux des petits déjeuners et choisis

ma chambre juste après.

Une arrivée folklorique... Quelques heures plus tard avec Nurziya et

Natavan nous visitons une galerie et montons observer la vue

panoramique et lorsque nous décidons de repartir, nous sommes enfermés

dans la galerie où j'allume une autre cigarette. J'en allumerais cinq

autres puisque nous y resterons près d'une heure trente... avant

d'être délivrés. Premier jour à Bakou!!!!! :)

 

5 novembre 2015

L'OEUVRE BLANCHE

                           

 Troisième nuit noire d'une existence déjà très cahotique. « Khojaly » devient une réalité. 
Je glisse, 23 ans en arrière, dans l'horreur la plus complète. Je décide de réaliser cette
« vision » mais très différemment des toiles. Rendre sa dignité à ce corps mutilé, dévasté.
Le lendemain, lors de l'ouverture de l'exposition -galerie Natavan, un homme me parle des
enfants de Khojaly. Je me retrouve devant une femme, des enfants. Je dois faire un choix.
Je m'y refuse. Durant des semaines, ces deux thèmes m'obsèdent jusqu'au moment où je décide
de les créer, en volume. Elle sera blanche, pure. Pas de sang, pas de rouge. Sa pureté doit
être mariale.
Je fais des croquis. Une quantité d'idées... Faire le tri n'est pas simple. Le travail d'un
artiste n'est pas du tout ce que l'on imagine. Je ne me déchaîne pas sur un support avec une
technique quelconque tel un malade sous absinthe. Le travail se fait sur un long terme, un travail de réflexion, de pensée. Tout ce qui m'entoure, tout ce que je suis, tout ce que
j'éprouve participera à cette réalisation.
Cette femme doit représenter l'amour. Et c'est à Paris que je commence l'Oeuvre Blanche.
Mon épouse prête ses traits au « masque funéraire ». Le hasard veut que trois jours après
cette première réalisation, mon père meurt. Un sentiment étrange que j'utilise dans le
processus. Certains doutes disparaissent. Là où je pensais qu'elle pourrait être debout,
je la vois désormais couchée. Morte. Absolument morte. Aucun espoir de résurrection. Après
tout, l'artiste peut tout. Mais non, je respecte et vais au bout de mon travail. Elle devient
le lieu de mémoir d'où sortent et rentrent les enfants victimes de la guerre. Et je rajoute
les petits princes : les enfants. Après beaucoup d'hésitations, ils seront représentés sous
la forme de nounours en plâtre. Quelque chose de doux dans cette folie totale et les meurtrissures
de la guerre. J'enveloppe le corps d'un linceul blanc. Elle prend corps immédiatement et durant
près de trois mois, je travaille à sa réalisation. Je suis très ému de l'avancée du travail. Je
fais totalement corps avec elle. La nuit, je me relève et l'observe. Une relation obsessionnelle.
Elle doit être parfaite et je dois être à la hauteur de ma promesse.
Je provoque bien avant d'avoir terminé un événement qui nous obligera à sortir de la nuit.
L'exposition de septembre. Montrer au public l'horreur de cette guerre au travers de l'Oeuvre Blanche ;
la mère et ses enfants... C'est un travail « incomplet » que je présente. Elle et moi avons encore de
longues nuits de travail avant de vous projeter dans la violence et la réalité de Khojaly.

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30 octobre 2015

BAKOU

Un an durant lequel je n'ai pas eu la moindre minute à consacrer à ce blog. Je n'ai pas vu l'utilité de passer du temps là où les heures m'étaient précieuses à d'autres choses. Il y a eu BAKOU en mars dernier et l'OEUVRE BLANCHE en septembre.

BAKOU

Bakou où je débarque fin mars... Je descends de l'avion mes toiles sous le bras, il pleut. Je découvre une ville fascinante et déconcertante par son architecture. L'accueil est très chaleureux et l'Ambassade de France me reçoit avec beaucoup de gentillesse et de patience. Seul le Conseiller Culturel reste pour moi le plus bel inconnu. Mais qu'importe, l'Ambassadeur de France était un homme heureux. Son "Attaché Culturel" a su mettre en valeur l'efficacité de l'Ambassade. Grâce à lui, j'ai pu rencontrer les meilleurs amis de Hugues dont Lyuba. J'ai rencontré de nombreuses personnes dont Dadash, Behruz, Natavan, Afag et bien d'autres. Je n'ai pas pu rencontrer Reyhan Huseynova mais le geste qu'elle a eu pour moi me restera en mémoire. Une très grande dame. "Vincent et les autres" firent en sorte que mon séjour soit riche, beau et que je puisse réaliser, dans les meilleures conditions, l'exposition "le Génocide de Khojaly"; exposition en partenariat avec l'Ambassade d'Azerbaïdjan à Paris et l'Ambassade de France à Bakou.

Deux expositions auront lieu. Tout d'abord à la galerie Natavan puis à la galerie Ashberon (la seconde a été totalement organisée par mon ami, Behruz).

Dadash N.M avait fait les choses en grand. Devant mon refus de voir du vin rouge lors du vernissage de Khojaly, nous décidons d'abandonner les buffets et nous consacrer à ce qu'il y a d'important: le génocide. Séances photos en intérieur extérieur, entretien télévision (2) le soir du vernissage puis le lendemain... Puis le public, nombreux et chaleureux. Oui, nous avons fait du bon travail. Nous avons du reste beaucoup travaillé!

Quelques photos... dans le désordre...

 

entretien télé

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toiles à réenchasser

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premier article

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18 juin 2014

Lisa WESTON: Places & Faces

http://lweston.fr/blog/index.php?id=1

29 mai 2014

Khojaly ou de la nécessité de dévoiler, crier

XOJALY          KHOJALY_140x085_D

 

Mon travail sur « Khojaly » m’est si intime et personnel que ces derniers temps, j’en oubliais l’origine créative, la nécessité de dénoncer l’horreur. Je dois l’exposer. Tel était le but et dans ma souffrance, mon deuil, j’oubliais et conservais ces toiles tel un lien passionnel avec celui qui a été et qui n’est plus. « La série « Khojaly » va voyager… J’ai promis et je tiendrai ma promesse envers ce peuple ami que j’aime, l’Azerbaïdjan et envers mon frère. Dussé-je traverser les océans, marcher sur les eaux… Ce qui est fait ou tout du moins en grande partie. Car rien ne me fait peur. Ma seule volonté est d’exposer cette série chez moi, avant son départ. Oui, je veux que ma ville connaisse « Khojaly », « mon cri d’amour pour Khojaly », mon « cri » pour la défense des droits de l’Homme.

Va-t-il falloir que je construise de mes mains l’édifice qui la recevra ? Sans aucun doute. Car Khojaly fait peur. Mais à l’heure où la France vit ses heures les plus sombres, « Khojaly » se révèle le reflet nécessaire d’une barbarie extrême, telle une catharsis nouvelle. Barbarie et folie qui nous guettent, tapies dans un coin sombre, prêtes à bondir et dévorer ce que nous avons de plus cher. La liberté et le droit à la différence. Mon travail sur « Khojaly » sera exposé à ceux qui ne connaissent pas son histoire et qui ne connaissent plus leur Histoire ; celle de l’Homme.

Je crois nécessaire de montrer « Khojaly » le plus vite possible à Metz. Aussi, parallèlement, j’y associerai mes grandes séries sur la guerre et ses aberrations. Je compte sur vous, sur votre présence et votre soutien. Non pas un soutien à mon « art » mais un soutien à la démocratie. Car telle est ma démarche –démarche à laquelle j’associe Hugues BALTZINGER, mon frère, commanditaire de la collection Khojaly. Ce frère avec lequel je partageais les mêmes idées avec force et conviction.

Xocalı və ya qışqırıq , açıqlanması zərurəti,

" Xocalı " Mənim iş son vaxtlar , mən dəhşət denonsasiya ehtiyac yaradıcı mənşəyi unuttum ki, mənim üçün çox intim və şəxsi edir. Mən izah etməlidir. Ki, mənim əzab və kədəri məqsədi idi, mən unuttum idi və kim olmayan biri ilə ehtiraslı əlaqələr kimi bu rəsm conservais . "The " Xocalı " seriyası səyahət edəcək ... Mən vəd və mən sevgi dost xalqına , Azərbaycana və qardaşım sözümü davam edəcək. Mən okeanlar keçmək hətta , ən azı əsasən nələr ... su gəzmək və ya . Heç bir şey məni qorxudur , çünki . Mənim yalnız arzu getməzdən əvvəl evdə bu seriyası ifşa edir . Bəli, mən şəhəri "Xocalı" bilmək istəyirsinizsə, mənim insan hüquqlarının müdafiəsi üçün "cry" "Xocalı üçün sevgi ağlamaq " .

Mənim əlləri kim olacaq bina tikmək məni tutacaq ? Bir şübhə olmadan . Xocalı üçün qorxudan . Amma Fransa öz qaranlıq saat gördüm zaman , "Xocalı" amansızlıqla , belə bir yeni ishal üçün lazım olan əks sübut edir. Barbarlıq və dəlilik cummaq və biz ən əziz keçirilməsi nə devour üçün hazır , qaranlıq bir küncündə lurking , lurking . Azadlıq və fərq hüququ . " Xocalı " Mənim iş onun tarixi bilmək və artıq öz tarixini bilmirəm edənlər məruz olunacaq; Man ki .

Hesab edirəm ki, qısa müddətdə Metz "Xocalı" göstərmək üçün edirəm. Həmçinin, paralel olaraq, mən müharibə və onun aberrasyonları mənim böyük sıra şərik olacaq. Mən sizə sizin iştirakı və dəstəyi saymaq . Mənim "art" amma demokratiya dəstək bilmir. Bunun üçün mənim yanaşma yanaşma I Hugues BALTZINGER , qardaşı, Xocalı kolleksiya sponsoru şərik olan . Qardaşı kimə zorla və məhkum ilə eyni fikir paylaşdı.

 

Khojaly or the need to disclose , screaming,

My work on " Khojaly " is very intimate and personal to me that lately, I forgot the creative origin, the need to denounce the horror . I must explain . That was the purpose in my suffering and my grief , I forgot and kept these paintings as a passionate relationship with the one who was and who is not . "The " Khojaly "series will travel ... I promised and I will keep my promise to the friendly people I love, Azerbaijan and to my brother. Even if I cross the oceans , walk on water ... What is done or at least largely . Because nothing scares me. My only desire is to expose this series at home before leaving . Yes , I want to know my city " Khojaly ", " cry my love for Khojaly " my "cry" for the defense of human rights .

Will it take me to build my hands the building who will ? Without a doubt. For Khojaly scares . But at a time when France saw its darkest hours, " Khojaly " proves the reflection necessary to extreme cruelty , such a new catharsis. Barbarity and madness lurking , lurking in a dark corner , ready to pounce and devour what we hold most dear. Freedom and the right to difference. My work on " Khojaly " will be exposed to those who do not know its history and no longer know their history; that of Man .

I think it necessary to show " Khojaly " as soon as possible to Metz. Also, in parallel , I will associate my great series on war and its aberrations. I count on you, your presence and support. Not support my "art" but support for democracy. For this is my approach - approach which I associate Hugues BALTZINGER , brother, sponsor of the Khojaly collection. The brother with whom I shared the same ideas with force and conviction.

 

28 avril 2014

L'oiseau à deux têtes...

 

"écrits et peinture" de Renaud BALTZINGER

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28 avril 2014

KHOJALY REJOINT LA MYTHOLOGIE DE BALTZINGER

En très peu de temps, Renaud BALTZINGER, aura porté une série importante retraçant un acte génocidaire méconnu. Dans de nombreux endroits du globe, le mot "Khojaly" commence à raisonner dans les esprits.

Pour l'auteur et son commanditaire, Hugues BALTZINGER, il était vital que le monde connaisse cette page d'histoire.
L'ampleur du phénomène a commencé lors de l'exposition à Paris où un collectionneur s'adressant à Renaud BALTZINGER s'étonnait de l'immensité du projet, de l'engagement de l'artiste au travers d'une peinture inimaginable, "hurlante" de vérité.
C'est à cet instant que le peintre a compris que "Khojaly" ferait comme il était convenu, le tour du monde. Et grâce à certains amis de Hugues, la série a pris un tout autre corps. Citons Reyhan Huseynova, Vazeh Asgarov et Bayram Balci. Mais aussi Hamlet Akbarov, Leyla Jafarova et tant d'autres.
En un an, le peintre est passé du statut "local" à "international" emportant toujours avec lui non pas une fierté pédante mais le bonheur de réaliser une promesse qui en elle même en était une autre. Un promesse à son frère qui lui même s'était promis d'honorer ce peuple qu'il aimait.
Khojaly a été vu à Paris, à Longeville les Metz par Madame la Ministre de la Culture Française -Aurélie FILIPPETTI, à Bakou en Azerbaïdjan et en 2015 dans deux autres endroits très prestigieux.

Depuis "Khojaly", le peintre a réalisé 3 autres séries dont la dernière, le Silence d'une Reine est un hommage à la femme qu'il aime. Lisa Weston écrit au sujet de cette série: " son épouse Céline dont les silences et les mystères l’intriguent... un travail à la lisière du travail de vitrail, dont l’inclinaison des têtes rappelle aisément des figures christiques. Influence dont il est facile de faire le lien avec les 8 années qu’il a passées à étudier la théologie."

Fin 2014, la série sera exposée à Bakou par Arts ArtsCouncil Azerbaijan¨ ainsi que l'ensemble de la tétralogie dite "le Temple aux Miroirs" (à laquelle s'ajoutera d'ici peu une nouvelle série. "La Mort de Vincent". Vincent, oiseau à deux têtes de la mythologie perse -dit "Homa"). Ainsi Renaud BALTZINGER accepte la terminologie de "mythologie en construction" concernant son travail et caractérisant l'ensemble de son oeuvre.


In very little time , Renaud BALTZINGER , has brought a major series tracing an unknown act of genocide . In many parts of the world , the word " Khojaly " begins to reason in their minds.
For the author and his sponsor , Hugues BALTZINGER , it was vital that the world may know this history .
The magnitude of the phenomenon began during the exhibition in Paris where a collector addressing Renaud BALTZINGER wondered the vastness of the project, the commitment of the artist through unimaginable painting, " screaming " truth .
It is at this moment that the painter understood that " Khojaly " do as he had agreed , around the world . And thanks to some friends of Hugh , the series has taken on a whole body. Include Reyhan Huseynova , Bayram Balci and Vazeh Asgarov . But Hamlet Akbarov Leyla Jafarova and many others.
In one year , the painter went from "local" status "international" always carrying with him not a pedantic pride but happiness to make a promise that in itself was another . A promise to his brother, who himself had promised to honor the people he loved.
Khojaly was seen in Paris, Metz Longeville by Madam Minister of Culture French -Aurélie FILIPPETTI , in Baku, Azerbaijan in 2015 and two other prestigious places.

Since " Khojaly " , the painter has made three other series including the latest, the Queen of Silence is a tribute to the woman he loves . Lisa Weston wrote about this series . " His wife Céline whose silences and mysteries intrigue ... the work on the edge of the work of stained glass , including head tilting easily recalls Christ- figures whose influence he is easy to make the link with the 8 years he spent studying theology . "

End of 2014 , the series will be exhibited at Arts Baku Azerbaijan ArtsCouncil ¨ and the whole called " the Temple of Mirrors " ( tetralogy which will be added shortly a new series. " Death of Vincent ." Vincent, two-headed bird of Persian mythology called " Homa " ) . And Renaud BALTZINGER accept the terminology of " myth construction " on its work and characterize all of his work.

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Renaud Baltzinger- Artiste Peintre de "Khojaly"
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